mercredi, 04 décembre 2013
La femme parfaite
On rêve tous de rencontrer la femme parfaite, celle de nos rêves, celle qui correspond trait pour trait à nos attentes.
Cette femme, elle serait géniale. Brune (because I brake for brunettes) de préférence, ou rousse pour le fantasme, ou encore blonde sans le côté nunuche. Mignonne, d'un charme fou, sexy sans être trop vulgaire, avec des yeux de fou dans lesquels tu plonges sans jamais en ressortir, une poitrine pas énormissime mais pas plate non plus, une taille fine, de belles hanches suivies de grandes jambes fines mais pas trop, précédées par des fesses parfaites. Cette femme qui - l'hiver durant - serait du genre à rester assise voire semi allongée dans tes bras sur ton canapé toute la journée pour regarder des bons vieux films de l'époque toujours aussi rigolos et jamais démodés, avec un chocolat chaud dans les mains. Très ouverte aussi bien musicalement que sexuellement. Cette femme qui a une confiance aveugle en toi parce qu'elle sait qu'elle te plait et que c'est elle que tu as choisie et pas une autre. Celle qui, malgré les galères, sera toujours là parce qu'elle croit en toi. Cette même femme qui est satisfaite aussi bien avec un dîner aux chandelles + vin rouge qu'avec une simple part de pizza faite maison.
C'est clairement celle dont je rêve, celle avec qui je serais prêt à tout partager sans que ce soit un effort pour ma part.
Ou alors juste une femme qui aime le saucisson.
08:35 Publié dans Vie sociale
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Tags : femme, parfaite, saucisson, brune
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Commentaires
Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant
D'une femme inconnue, et que j'aime, et qui m'aime,
Et qui n'est, chaque fois, ni tout à fait la même
Ni tout à fait une autre, et m'aime et me comprend.
Car elle me comprend, et mon coeur transparent
Pour elle seule, hélas! cesse d'être un problème
Pour elle seule, et les moiteurs de mon front blême,
Elle seule les sait rafraîchir, en pleurant.
Est-elle brune, blonde ou rousse? Je l'ignore.
Son nom? Je me souviens qu'il est doux et sonore,
Comme ceux des aimés que la vie exila.
Son regard est pareil au regard des statues,
Et, pour sa voix, lointaine, et calme, et grave, elle a
L'inflexion des voix chères qui se sont tues.
Paul Verlaine (Poèmes saturniens)
Écrit par : Flo | dimanche, 08 décembre 2013
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